A cause de la pandémie de COVID-19, nous sommes toujours plus nombreux à travailler à domicile. Les entreprises n’ont en effet pas le choix de s’adapter et doivent permettre à leurs employés de travailler de chez eux si elles veulent conserver une certaine activité… du moins, quand ça leur est possible. Pour Microsoft en tout cas, le télétravail devient omniprésent et la firme va même perme...
Car par expérience personnelle, les anglo-saxons ou les asiatiques ont, eux, parfaitement compris l’intérêt du télétravail.
Cela permet de diminuer la surface de bureau à louer ou posséder... Exception côté français : Peugeot est en train de faire imploser sa surface de bureaux, et certains sites ont vocation à disparaître.
La seule différence pour moi depuis mars, c'est que je n'assure plus aucun service où je dois me rendre chez mes clients.
A fond le matin et piscine l'après-midi
Il accentue les inégalités. Celui qui vit dans une grande maison avec un bureau à lui, une connexion fibrée ne travaillera pas dans les mêmes conditions qu'un type dans un T2 avec un enfant en bas âge dans les parages, un bureau improvisé dans la salle à manger et une pauvre connexion ADSL.
L'entreprise a au moins le mérite de mettre tout le monde sur un pied d'égalité.
Et quoiqu'on en dise, certains n'en branlent pas une s'ils ne sont pas surveillés H24.
Pour ma part étant consultant fonctionnel, le contact client manque dans pas mal de situations, Zoom et Teams montrent vite leurs limites.
Un à deux jours par semaine pour moi, c'est très bien, mais ça ne me dirait absolument pas d'y passer à 100%.
Mais si c'est fait sur la base du volontariat, pourquoi pas, c'est très bien que Microsoft laisse la possibilité.
2 jours de télétravail par semaine. Mon boulot pourrait l'être à 100% mais bon je bosse pour un grand groupe qui est encore réfractaire.
Suis en télétravail depuis le mois de mars à 100% et ça me manque vraiment pas de les voir. Après j'ai un boulot qui convient très bien pour ce temps de travail aussi, ça aide à la chose et je ne vais certainement pas pousser pour revenir.