Windows 10 sera-t-il imposé sur les futures machines avec des config' récentes ?

Terry Myerson, le vice-président exécutif Windows & Devices, sur un article officiel, vient de faire part d'une nouvelle étape quant à l'importance de guider un maximum de personnes vers Windows 10. Ici, il serait question, afin de profiter pleinement du système d'exploitation, de devoir migrer avec des machines équipées de nouveaux éléments, on vise surtout les nouveaux processeurs récents et à venir. Bien sûr, on imagine qu'il s'agit surtout d'une légère dramatisation visant à atteindre le but ultime (le milliard de copies d'ici à 2018) de la firme concernant son OS.

Sur son sujet, Myerson indique que, pour profiter pleinement du support de Microsoft, il sera nécessaire de passer à Windows 10 sur les dernières références de puces. On savait déjà que Microsoft essayait de pousser un maximum de personnes à s'équiper de la dernière version de Windows (c'est d'ailleurs récemment le cas des entreprises utilisant Windows 10 Professionnel), mais, ici, on en vient à passer de l'uniquement software à l'hardware.

C'est du moins ce que l'on comprend avec un Terry Myerson, sur le blog de Microsoft, qui embrouille légèrement ses lecteurs. Il raconte que lors de la conception de Windows 10, Microsoft a travaillé avec ses différents partenaires, dont Intel, AMD, Nvidia ou Qualcomm, sur de l’ingénierie collaborative "afin de s'assurer que Windows 10 tire pleinement parti des nouvelles fonctions des processeurs". De là à dire que les processeurs seront incompatibles, ça serait faire une interprétation un peu maladroite. Mais dire que certains éléments ou fonctions ne seront pas accessibles via les anciens processeurs, c'est possible, oui. Avec un support assuré jusqu'à 2020 pour Windows 7 et 2023 pour Windows 8, la limite est effectivement plus proche pour les puces Intel Skylake où l'on parle du mois de juillet 2017, pour le particulier, du moins.

En fait, on retrouve un peu la communication basée sur la peur et l'urgence comme celle, il y a peu, de Chris Capossela, le directeur marketing de Microsoft, en disant que les gens utilisaient désormais Windows 7 à leurs risques et périls. Dans les faits, il s'agit donc d'une énième manière de mettre en avant Windows 10. Et cela reflète juste l'ardent désir de la firme de Redmond de réduire la fragmentation de son système d'exploitation quitte à créer un certain niveau d'inconfort, "si cela permet de ramener plus de gens sur un meilleur système d’exploitation", dit-on. Comme le signale Microsoft, c'est effectivement, à défaut de générer une communauté de contestataires, de réactionnaires et de réfractaires, une façon d'être le plus honnête possible. On reconnaîtra au moins cela de la part de la firme. Bon, et avec tout ça, je suis sous Windows 10 depuis juillet 2015, et tout roule. Et vous ?

Une question sur Windows 10 ?

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Source : blogs.windows.com
Via : zdnet.com

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